SECTION V. — CHAPITRE I. 465 et celles de l’équation (2) 20 7 O A S 'J-2."1« 20 # 215 par suite, en appelant xo, Xy, X» les trois racines de l'équation (1), on aura l) dga mançgua C 0T A 5 P m=> 3 4049 H X Vas P 2 d —-— 3 sp C Ja e Sil’on ajoute ces équations, après les avoir respeclive- ment multipliées d’abord par 1, %, à?, puis ensuite par I, &2, , il vient x + 4X + 02 x3 0 p E x, + 9244 + 4X) Vs 3 On voit par là que la méthode de Hudde revient, au fond, à former une résolvante en y dont la racine ait pour va- leur e 004 C4 =1 AèS TT à ? et que cette résolvante ne diffère de celle de Lagrange que par le facteur 3 t{ui divise les racines. 510. Mérnones pe Tscmirnaÿs En n'Evrer. — Nous avons exposé au n° 190 la méthode générale de Tschir- naüs, pour faire disparaître d’une équation autant ds termes que l’on veut. Il en résulte une méthode pour la résolution des équations du troisième degré; mais nous n’ajouterons rien ici à ce que nous avons dit à ce sujet au n°191. S— ÆAlg. snp:; IN 3