——c e | m m e , 2 464 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. 509. Companarson DEs DEUX MÉTHODES PRÉCÉDENTESs. — La méthode de Lagrange, que nous venons d’expo- ser, est moins simple que celle de Hudde ; mais elle est plus directe. Toutefois, ces deux méthodes fournissent la même résolvante, et nous allons voir qu’on est natu- rellement conduit à la méthode de Lagrange, en étudiant à fond celle de Hudde. Reprenons l’équation générale du troisième degré (1) .l‘3+PÆ2+Q.I)+R=O. Pour appliquer la méthode de Hudde, on commence par faire disparaître le deuxième terme, en posant I) —— +.Z", 3 ce qui ramène l’équation à la forme (2) x'3—+—p.r'+q=o; on pose ensuite m y 3])—y’ et l'on obtient enfin cette résolvante, sq P (3) 10 7 70 Cela posé, si yo désigne l’une des trois racines cu- biques de — 1 4 4/2 4 t J celle des trois racines 5 4 277 ; q q p ; 2Rs ÿ cubiques de — sN y - e qui, multipliée par y0, , —p ‘ ; se donne pour produit —3—], les six racines de l’équa- tion (3) seront Nor EVos X Y05 Jas QI, « Y1