sdlHi . 462 COURS D'ALGEBRE SUPÉRIEURE. ; À Ë ; q ; - 3 | _ après les avoir multipliées respectivement par a”, « et 1; | ‘ On a ainsl ; —P+0o%+at \()) & — 8 ? et enfin on obtient la valeur suivante de x», —P+oath+ot, (10) 1 75701 en ajoutant les équations (6) et (7), après les avoir res- pectivement multipliées par «, «? et 1. Tout est donc ramené à résoudre l’équation ( 5), qui est alors une réduite ou une résolvante de l’équation pro- posée. Cherchons d’abord à exprimer les coefficients de la résolvante par ceux de l’équation proposée, ce qui est possible, puisque ces coefficients t? + t* et t* t* sont des fonctions symétriques des racines. Sil’on multiplie les deux équations (6) l’une parl’autre, et qu’on ait égard à la relation a?+ « + 1 = o, il vient y — x3 + X1 + X3 — Xo X1 — X4 X3 — X2 X9 = (x + x + X}* — 3 (XoX; # X1 X2 + X9 XY , et, par conséquent, (ïl) loll=P2—3Q; si, enfin, on ajoute les deux équations (6), après les avoir élevées au cube, on obtient 3 8 8 r3 23\ H% —‘2(‘!0+"1 —# Z2) 2s 3 {‘I‘â'l‘l c .I‘Î.I‘0 = .I.'—I’J.Z +""î"‘]+ x 2 X9 + X} *2) + 12 20008 3(x3+ x3 + x3) — (xo + % + X2 )8+ 1Ox) X1 X2 — 2P*+ gPQ — 27 R; l la résolvante (5) devient donc &$ — (— 2P* + gPQ — 27R) # + (P? — 3Q)} —o.