SECTION V. — CHAPITRE T. 499 s— ; SRE ; V p désignant une quantité réelle; on a d’ailleurs ; e e HÛ —— . o+Hhx V cCosa — y —1 sINne = COs —vy=—I1sn-—-—#_ " r n oHIÂK e e E A RR V cose +— y — 1 sine — Cos RE 1/ SU 08 3 s=3 où Æ a l’une des trois valeurs o, 1, 2. On doit donner à k la même valeur dans ces deux formules, car il faut que le produit de leurs premiers membres soit réel; on aura donc s,— OH 2h/T —DN C0S 5 00 ; > ct les trois racines de l’équation seront sJT & 3 & + 2% 3,- m-—+—47r '),\[Jt'05:3 2\{)C()S sr ?.V{)C()S 5 Tn 5 On pourra, dans chaque cas, caleuler par logarithmes les trois racines dont nous venons de donner l’expres- sion. 508. Mérnone pe Lacrance. — Considérons l’équa- tion complète du troisième degré (1) æ P2H+Qr+R=0o, et désignons par xo, X1, X2 ses tro1s racines. D'après la théorie exposée aux n°° 501 et 502, on pourra déter- miner les racines xo, X4, X2, Si l’on parvient à connaître la valeur d’une fonction quelconque de ces racines, tel- lement choisie, cvpcndunl, que les six valeurs qu"ch peut prendre par les 1.2.3 substitutions de xo, X1, , soient différentes. La méthode de Lagrange, que nous allons exposerici, consiste à déterminer directement la valeur d’une fonction linéaire des trois racines, telle qU(E (2) t=— x, + Ax, + BT,,