N /g E , A z ë 4'{& COURS D ALGERRE SUPÉNIEURE. faire à l'équation précédente : on a donc f Y,(V;)=0o, ce qui exprime que les quantités (7) sont racines de l’équation (1). Pour achever la démonstration du théorème énoncé, \ il reste à prouver que les quantités (7) sont distinctes. Je dis qu’on ne peut pas avoir 44( V;) = v;(V;), si j est différent de Æ; en effet, si cette égalité avait lieu, V; se- rait racine de l’équation v7(N)—#,(V) =0o, S \) de l’é- quation irréductible (4); on aurait donc en particulier laquelle admettrait alors chacune des racines | Vx(Vo) — Yj (Vo) = 0, ce qui est contre l’hypothèse. CororLAirE. — Les substitutions 1, S4, S», .… , S,4, par lesquelles on passe de la permutation (6) des ra- CINES Xoy X1, <, Xn_y AUX V permutations (7), forment un système conjugué. En d'autres termes, les y permu- tations (7 ) constituent un groupe. En effet, on a V;=9(V0), 9 étant une fonction ra- tionnelle; 1l s'ensuit que V, est racine de FO(V)= u; cette équation admet donc la racine V;, et 0(V;) est l’une des racines V, de l’équation (4). Cela posé, dési- gnons par À; la permutation (7), ON aura Sd0-— 31 '?u 0(Vo)» "L1 O(Vo), persiat U; -1 0 V0)3 et, en faisant la substitution S,, . 7 T. r \ S, S;A0 — Vo 9(V7)> V19(V5), <++, Vn O(V, —" J cE ps t V 3s C —f0\\/vw fl“/f1 005 Vnss(Vk) —Sx A0) qs d’où b_/S‘-=S;L.