ql 440 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. 500. Ïf:'lll;ll_\‘.—i«;‘ qui précède peut être étendue au cas où la fonction y n’admet pas toutes les substitutions de la fonction donnée V. Dans ce cas, le nombre v des valeurs distinctes de V est moindre que N= 1.2...n; et s1 l'on pose N — |ŒV, les N valeurs de V se partageront en y groupes contenant chacun u valeurs égales. Soient T ;(1) J (u—1) \w ‘u7 Pua E A ‘0ll , T 7(4) 7(u—1) M NN SU V .. …. .., ... T T1 T(u—1 v V L VU v ces v groupes, et y(° la valeur de y qui correspond à V'". Désignons par z une fonction symétrique et ration- nelle quelconque des quantités / (4) (p—1 es ,7é’, …. .)ç'k ), il est évident que la fonction = admettra toutes les sub- stitutions de V,; on pourra donc exprimer z, en général, par une fonction rationnelle de V,. Quand on auraainsi calculé y fonctions symétriques des quantités e }5> <<" y#", on pourra former l’équation du degré u, qui a pour racines ces u valeurs de y. SU1. On voit, par ce qui précède, qu’on pourra tou- jours déterminer les » racines Xo, X1, » +, Xn d’une équa- tion donnée du degré n, si l’on connaît la valeur d’une fonction V de ces racines, pourvu que les 1.2.3...7 va- leurs que prend V, quand on y permute les racines, soient différentes, non-seulement sous le rapport de la forme algébrique, mais encore au point de vue numérique. En eflet, on peut supposer que la fonction inconnue y