434 COURS D'ALGEBRE SUPÉRIEURE. pour 1770 et 1771. On rencontre, entre autres résul- tats remarquables, dans ce grand travail, le beau théorème que voict : Dès qu'on aura trouvé, par un moyen quelconque, la valeur d’une fonction rationnelle des racines d'une équation, onpourra, en général, trouver la valeur d’une ttuti‘@_/ànc‘[i0n rationnelle {/1æl0071{/…de.€ mémesracines, etcela par le moyen d'une équation .s‘ùnplcmwzl linéaire. Que/qum‘ cas p(tl'l'ic‘ulim'.î exigeront cæpc/!(lm// la reso- lution d'une équation du deuxième, du troisième, ete., degré. Soient X0s T1y ++ 19 Tn les æ racines de l’équation (1) 27" p,@"" + pax" HE Pasr t H Pn 05 et Sn vl 19s es A , °n—1 J GV oe N S 0n - 5) deux fonctions rationnelles de ces racines dont la pre- mière a une valeur donnée. Nous supposerons d'abord que la fonction fadmette toutes les substitutions de F ; dans ce cas, on peut déter- miner la valeur de / par la méthode dont nous avons fait usage au n° 492. Effectivement, si l’on représente par (2) V(H V1, V29 .. Vu—1 les valeurs distinctes que prend F par les substitutions, et par (3) Vos V1s V239 *+ 05 VyHt les valeurs correspondantes de /, que l’on pose en outre,