SECTION IV. — CHAPITRE vV. 417 f'désignant une fonction symétriquede X,, X,, — X, / la fonction V admettra les substitutions (1); mais elle peut aussi en admettre d’autres, si la fonction f'a une forme convenable. Si l’on fait, par exemple, V=X,#+X,+..1+ X #—1> V sera une fonction symétrique des variables x9, X1, … Xn Des fonctions semblables. 192. Deux fonctions de n variables sont dites sembla- bles lorsqu’elles admettent les mêmes substitutions. Ainsi les fonctions â \ KO X4 + X2T3, ( + %, ) (4 + 2ai) des quatre variables X0, X1, Xe, X3 sont semblables, car elles admettent les huit mêmes substitutions : ( Âs - \.Ï'U, X3, , I‘3) (#os X1 ) (X29 X3) |> (‘ZÏ(J« X39 Ÿ1, ""2) qui forment unsystèmeconjugué dont l’indice estégal à 3. Lagrange a fait connaître une propriété importante des fonctions semblables que l’on peut énoncer ainsi : Étant données deux fonctions semblables des n wa- riables xp, X1, X2y - -+, Xn_v, chacune de ces fonctions est exprimable par une fonction rationnelle de l’autre, dans laquelle les coefficients sont des fonctions symé- triques des n variables. Cette ln‘n]')<)silion est contenue dans une autre 1)1115 générale que nous allons établir : Tuforème. — Ætant données deux fonctions des S. — Als. sup., 1L 27 ;