SECTION IV. — CHAPITRE IV. 411 Ces résultats, dit M. Hermite, autorisent jusqu’à un certain point à supposer que, dans l’étude des formes analytiques des substitutions pour un nombre premier p de lettres, les expressions nommées réduites se ramènent elles-mêmes à d’autres beaucoup plus simples, en con- sidérant les valeurs de l'indice comme résidus cu non- résidus de puissances dont l’exposant diviserait p — T1, ou bien encore comme divisées en deux séries formées ; =0 e ; l’une de nombres inférieurs à /, et l’autre de nombres 2 supérieurs. 488. Par exemple, le nombre premier p étant quel- conque, si l’on a une substitution réduite de la forme p—1 \ ps O::(lZ“’<: 2 +[/—I):”K: 2 —T1/, 1l est clair que l’on peut écrire d’une manière plus simplu 02= 2az° (si z est résidu de p ), 03 =— 96275 (si 2 est non-résidu de p ). C’est à cette catégorie de substitutions qu’appartient, la substitution réduite E PE E d MEN dans le cas de p — 7, F 25 >. 02 — — 3° — 22°, <1ui est telle, que l’on a OLOZ“ï?_*: et Ç ; n 0|a0(z) + /)] — 211/1'0(:+ ; É 0MU ; ; ; \ a*b a ; pourvu que à soit un résidu quad ‘atique de 7. I résulte de là que, à étant résidu de 7, les substilu- “ions représentées par les expressions azs+b, a0(z+b)+e