SECTION IV. — CHAPITRE IV. 390 ordre et que les racines réelles ou imaginaires 30, © de la congruence 03=z (mml.p) soient telles, que l'on ait p3 = l 31, 95 =3, (mod.p). Dans le cas où l'ordre de 03 est p — 1, les racines z0, Z1 sont réelles et la dernière condition exprime que la sub- stitution 9z transpose les deux indices que 0z laisse immobiles. Si l’égalité (1) a lieu, le système des puissances de @-*99z, savoir (2) z, 97!003, 97!020z, s.e, coïneide avec le système (3) 2, 0z, P a, .. des puissances de 0z. Chacun des systèmes (») et (3) renferme une substitution du deuxième ordre, et alors ces deux substitutions doivent être égales; on a ainsi p=es p=t p=! —I p=1 (4 9"10 2 932—0 2 z3 O 03 0700 2 ‘ —— 7 Ï -e Réciproquement, si cette égalité (4) a lieu, les systèmes (:>.) et (3) étant du même ordre p 1 et ayant une sub- stitution commune, ils coïncident nécessairement. PE Si l'on remplace z par 9 * oz, l’égalité (4) devient p=1 /::*:1 ; 0 ? 00 u:_"f)/’i—"f:=u2"' $ ] 2 p+1i 0 ? ozetoz ont donc le même carré, et il en résulte que ces fonctions sont du deuxième ordre. En effet, si le contraire avait lieu, les deux substitutions dont il s’agit