SECTION IV. — CHAPITRE IV. 3o1 et l’on doit toujours regarder deux nombres congrus sui- vant le module p comme pouvant représenter le même indice. La substitution de l’infini à z se fait d’après les règles de l’Algèbre ordinaire, et lorsque, pour une valeur particulière de z, le dénominateur 9z est congru à zéro, la fonction prend la valeur de œ . C’est là une conven- tion qu’on est libre de faire, attendu qu’elle n’est en contradiction avec aucun des principes fondamentaux de la théorie des congruences. En résolvant la formule (r) par rapport à z, 1l vient b — b'0z. Pa 02en cette formule montre qu’il n’existe qu’une seule valeur de z propre à faire acquérir à 03 une valeur donnée, ce qui est nécessaire pour que 0z puisse représenter une substitution. La congruence (2) 02=z (mod.p)} peut se mettre sous la forme (3) a'=*— (a — b')a—b=0o (mod.p), \ / / ou [20'z3 — (a — b')? = (a + b')*— 4 (ab' — ba’) (mod. p). Elle n’aura aucune racine réelle si la quantité (4 a + b')?— 4 (ab! — ba') est non-résidu (]llll(ll‘îlli([llU relativement à p; alors, la congruence (2) ne pouvant subsister pour aucune valeur de z, la substitution 8z déplace tous les indices. Si la quantité (4) est congrue à zéro, la congruence (fæ) ou (3) a deux racines réelles et égales; par conséquent, la sub-