SECTION 1V, — CHAPITRE IV. 387 pour toutes les valeurs de m inférieures à p—1 ; on a donc, par la formule (4), & \ Pmevras se (O ) A =0 (mod. p). En second lieu, supposons la fonction f(z) telle, que la congruence (5) ait lieu pour les valeurs 2, 3, ..…, (Pp—2) de m. On aura par la formule (4) Sn=0o (mod.p), pourles mêmes valeurs de m; cette congruence subsistera aussi pour m= 1, d’après la formule (1), et pour m= puisque =?= z quel que soit =. On voit alors, en se re- portant aux formules de Newton, que la congruence [Z —/(0)][Z —/(1)]. -[Z —f(p —1)|=o (mod. p) a la forme ZP—aZ=0 (mod.p), ou même la forme 277—Z=0 (mod. p); effectivement, toute valeur de « autre que 1 ou zéro ne laisserait subsister qu’une seule racine réelle Z qui Serait égale à zéro ; la valeur « = o donnerait p racines nulles, ce qui est inadmissible, car la congruence f(z)=0 (mod. p), étant du degré p— 2, ne peut avoir plus de p— » racines. Hl résulte de là que, si l’on donne à z les valeurs Q, T3* 2a 0 es DLn la 'fî'm(filinnf(:) prend successivement les mêmes va- leurs, abstraction faite de l’ordre; elle est donc propre à représenter une substitution.