SECTION IV. — CHAPITRE IV. 385 st l’on a ” (3)=—1 (m(>d.p). En même temps l’expression des fonctions entières 1(s propres à représenter les substitutions, devient d'(zP — 3) b (zP — 3) Æ(P — z) =- - (mod. p\, 7 z B7 SUT . 3—p+I ou, en effectuant les divisions, f(3)=— a(sr—+—1) — D(at tn 2P3 e E +e(afTt e DAPTRR US A DP TR L ; (mod.p). —:’:[:”*‘—1—(p——1):l’—2+...+([)——1)”—2:J Comme on a a+b+ec+...+h=0 (mod. P), on peut ('s(‘l‘i[‘0, en ordonnant par rapport à z =4 f(=)=a—[b+artet.. +(p—1)P4]z C —[à+aP-3e+, .. + (p — 1)P-3#]2 _ ' ‘ ; (mod. p). —[b+2e + +(p — 1)&]z"—* s | 416. Dans un article qui fait partie du tome LVII des Comptes rendus de l’Académie des Sciences, M. Her- mite a démontré que les polynômes f(:) dont nous venons de donner l’expression possèdent une propriété qui peut servir à les caractériser. On a effectivement ce théorème : e Tnéonème. — Soient f (z) une fonction entière de e à coefficients entiers et du degré p—2, et fn (=) /a fonc- tion entière obtenue en rabaissant au-dessous de p, à l’aide de la congruence zP= 3 (mod. p), le degré de la puissunce m" du /)o/}710/}1@f{:). Pour que /u_/«mc/iou S. — Ale: sup., 1I, 245