*$2 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. e ï . . 5 p(p +1), et elles appartiennent au premier genre où , cex » ä ; ; au dCUX1CÛ]C gean suivant (IUC ! est pËlll‘ ou lllll)flll‘, c’est-à-dire suivant que p a la forme 44 + 1 ou la forme ‘ . , Pp+1 4q + 3. Les autres sont les puissances du degré . 2 . I ; des fonctions d’ordre p + 1; leur nombre est — p(p — [), 2 et elles appartiennent au premier ou au deuxième genre I Ë ; ; E ; est pair ou impair, c’est-à-dire suivant . ]7 suivant que que p a la forme 4g +3 ou la forme 44 + 1. On voit que le nombre total des fonctions du deuxième ordre est égal à p?. Dans ce cas de n= », où l’on a ï——1, la con- gruence (26) se réduit à a + b'=0o (mod. p); il en ré- sulte que l’expression générale des fonctions du deuxième ordre est az—+b € ls a G5 on arrive au même résultat au moyen de la formule (ro), puisqu'une fonction du deuxième ordre est égale à son inverse. 473. On voit, par les développements qui précèdent, que, pour former les différents groupes qui contiennent les puissances d’une même fonction linéaire pour le mo- dule premier p, il suffira de connaître une racine pri- mitive de chacune des congruences tc (mod.p}. Les racines de la première ne sont autres que les racines primitives du nombre premier p, et l’on a vu au n° 372 comment on peut obtenir les racines primitives de la deuxième congruence. Veut-on, par exemple, former les