SECTION IV. — CHAPITRE IV. 379 pour lesquelles ? est non-résidu quadratique de p. Si l’on suppose n— p + 1, on obtient l’expression . e —/)'])—'I\?:])+l) du nombre des fonctions linéaires d’ordre p + 1. Enfin, si N,4 désigne le nombre total des fonctions linéaires pour |<,‘.3 p(p—1) Ÿ e(n); or l’expression E @ (n ), qui s’étend à tous les diviseurs des p 1 autres que 1, est égal à p; donc Î.1"'> hY es I 2/ (97) ]141—:])Kl)—[). Ces Np41 fonctions linéaires peuvent être partagées en / \ I . ; ; —Pp(p—1) groupes contenant chacun p fonctions, qui VS | sont les p premières puissances d’une fonction linéaire d’ordre p+1, relative à une racine primitive donnée de p. En effet, les N fonctions dontil s’agit seront données par les formules (36)en employant toutes les racines de la congruence(35), excepté 1, et ces racines ne sont autre chose que les p premières puissances d’une racine pri- mitive &. Or, en employant cette racine primitive, les formules (36) donneront — p(p—1) fonctions linéaires 2 ' d’ordre p +1; d’ailleurs les puissances de ces fonctions se déduisent des fonctions elles-mèmes en remplaçant la vacine primitive à par ses puissances ; on aura donc toutes