SECTION 1V. — CHAPITRE IV. 37} est non-résidu quadratique du module p. Alors la quan- tité £ est imaginaire, et pour que a et b° soient réelles, 1l faut, par les formules (28), que la racine : soit elle-même imaginaire, ou qu’elle soit égale à —1; dans ce dernier cas on a nécessairement n = 2. Je dis que généralement le nombre n, qui marque l’ordre de la fonction 0z, est égal à p+1 où à un diviseur de p+1. Si l'on an = 2, la proposition est évidente, car 2 divise p +—1; supposons donc n>2. Si l’on pose a+sp (33) e —a(4+1), la congruence (26) devient (34) #—2k+1=0 (mod. p). On sait (n° 372, théorème III) que les racines de la con- gruence irréductible (34) peuvent être représentées parz et iP, et, comme le produit de ces racines est congruar, on a (35) ë=1 (mod. p); ine peut donc être racine primitive de la congruence (25) que si » est égal à p+1 ou à un diviseur de p +1. D'après la congruence (34), k désigne la demi-somme : é SS I ; ; des deux racines conjuguées à et —> et 1l en résulte que l lon a i—4—1{_ /‘—%—lt2_ _\ k—r * BI nous attribuerons au radical qui figure dans le second membre de cette formule celle de ses deux valeurs qui fait partie de la suite en es 9