570 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. »— 2 premières puissances d’une racine primitive à. Or, en employant cette racine primitive, les équations (30) ct (31) donnent — (p+1 )p fonctions d (>l‘(ll‘L‘/)—lî d’ail- ; 2 leurs les formules (29) montrent que les puissances de ces fonctions se déduisent des fonctions elles-mêmes, en remplaçant la racine primitive i par ses puissances; on aura donc toutes les fonctions linéaires que nous consi- , F . E ; dérons en prenant les — (Pp+1)p qui répondent à la 2, racine primitive donnée i, et en formant le groupe des p — ? premières puissances de chacune d’elles. Les formules (31) montrent que À et : sont en même temps résidus ou non-résidus quadratiques de p ; il s’en- suit que les fonctions dont nous nous occupons appar- tiendront au premier ou au deuxième genre, suivant que la racine j à laquelle elles se rapportent sera résidu ou non-résidu quadratique de p. Or, pour les fonctions d'ordre p—1, à est non-résidu ; donc ces fonctions et leurs puissances impaires appartiennent au deuxième genre, tandis que les puissances paires appartiennent au premier genre. On voit aussi que, parmi nos N,_, fonctions, il y en à 2 q 9 1)p(n-—=3) 4 \I ,"I \/ / qui appartiennent au premier genre, et f 7 (P+1)p(p—1) qui appartiennent au deuxième genre. AT1. Examinons maintenant le cas où la quantité — <”—_:—{)-))— (O [m'}