E}f!4 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE, on fera d'=1 dans les formules (28) et l’on anra / à 41 \ @s t+e b=C—g, a=i, ( =— Ë (31) « {b’ z'+1t e 4 iê — —s S \ ù —I 4 (i—1)?? le changement de t en —# dans les formules (31) équi- ; I é vaut au changement de à en—; donc, lorsqu’on doit em- ; ë ployer successivement toutes les racines i, on peut se Ë ; p T borner à donner à t toutes les “ valeurs > 1S 3 y 2N Quant à la quantité g, elle peut recevoir les p valeurs Qtc às 2055 4 On obtiendra de la sorte, au moyen des formules JU, \ Uice-sE ‘ > ° . E . « Œ—' fonciions fractionnaires relatives à la racine Ls 2 ce qui, avec les p fonctions entières, donnera un total de I j e $ ; (/)—|——1)/) fonctions linéaires. Et cela aura lieu encore 2 dans le cas de n = », bien qu'alors la congruence ( 25) n’ait que la seule racine primitive —1, car, cette racine étant égale à son inverse, les formules (31) ne change- ront pas par le changement de t en —t. ; ; [ ? ; Il est facile de voir que les = (p+ 1)p fonctions qui = ; répondent à une racine à sont distinctes de celles qui se rapportent à une deuxième racine primitive, en sorte que, si 9(n) désigne le nombre des racines primitives de la congruence (25), 1l y aura un nombre de fonctions