MPE f Hl Ï J E E 368 COURS D'ALGÈBRE SUPÉRIEURE. si l'on fait, pour abréger, comme au n° 461, (12) 2t:y/(a+b’)‘-’——4(ab’—lm’), 5 Pm = (a+b' +26)7 + (a+b'— ac)m, (13) (a + d'+ 2t)7 — (a+b'— 2t)7 , 0— , 26 on aura les équations déjà considérées / 05 Pnz % (" — ) Qm Qm ”nz——*?’ bm:b—…'7 Q 2 (l4) « 9 b/ ' (I’ E /\m b' _Pm—(a_ )Qm \ MREs 2m RI . 9m+i et qui sont comprises dans les formules , , \ P Pnl TS bm bm ”m an (15) (l…+b,”—îa mn - == =n 2 a—ùb b a SE Désignons par À le déterminant ab'— ba' de la fonc- 5 P tion 0z et par À, celui de 07 z ; posons en outre (16) 29 == \“ "m + Ï)"A r 4 (”m b bm”…)â m on aura, par les formules (14) ou (15 »pP + , («7) 25e 4n =an, On voit que, dans le passage de la fonction 0z à sa és puissance 6” z, les rapports des quantités a — ë. b, a', t à l’une d’ 01105 restent invariables et que le dctm— minant se trouve 1emplacc par sa mAèmie pumsdnœ cette dernière propriété résulte d’ailleurs de ce qui a été dit plus haut. Les formules (14) montrent que 6” z ne peut jamais être une fonction entière autre qu<, z, à moins quo 0z ne soit elle-même entière ; car, si a’ n’est pas nul, à', ne peut s'évanouir que dzms le cas où l’on a Qn=0o, et alors on a bp=0 & an=b,.