t r 0 F | ‘ 360 COURS D'ALGÈBRE SUPÉRIEURE. ou (a+60 +21)#H—(a+bd'—2t#*=0. On tire de là 2)T . T u+bd+ot=(a+d—oat) (cos— + — 1 SI __\ : u 0 4 ‘ et = ; A —— (7>) 2t—(a + b')tang — Y— 1, u en désignant par À un nombre entier qu’on doit supposer premier avec z pour qu’il faille effectivement exécuter u fois sur x l’opération désignée par 9 avant de repro- duire x. La comparaison de cette valeur de 2t avec celle qu’on tire de l'équation (7) donne \ (16) (a+l)')2—4((zl/—ba')cosî—l=0; æ k ce qui est la condition nécessaire et suffisante pour que l’on ait 0*x=—xæ% Si l’on suppose que les quantités a, b, a’, b' soient réelles, l’équation (16) montre que la quantité ab'— ba doit être positive, le cas de y — 2 étent excepté. Et comme on peut, sans changer la fonction 6x, multiplier les con- stantes a, b, a', b'par un facteur quelconque, on voit que, sans altérer la généralité de la solution, on peut supposer (17) vh—"ba‘=T; alors l’équation (16) donne > \ , —/"—. (18) a+—b=—2cos —. ; u Nous ne mettons pas le signe Æ devantle second membre, parce qu’on peut, si on le juge à propos, changer les signes des quatre quantités a, b, a', b',