- 358 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE, équations dont on déduit ; ; e [1… æ - ; — —— , a a m (10) Bc P— —> 4 a , L L S 5 , N . An ])m — bn 2 == <._1/) — ba')*; en sorte que, si l’on a ab' — ba' = +1, on aura aussi ! , m bn — 0m = Æ1, 462. On connaît donc les coefficients de la fonction 6”x en fonction des quantités connues a, b, a’, b'. A la vérité, notre analyse semble en défaut s1 t est nulle, car, dans ce cas, les racines z et = étant égales, les équa- tions (6) ne diffèrent pas des équations (5); mais, comme les équations ( 8) et (9) ont lieu quelque petite ue soit /, il en résulte qu'elles subsistent pour / = o : on a, dans ce cas, Pn=2(a+b')n, 0 2M 4} 65)7S), et, par suite, ; L 7 (a + 6')?+— m(a — b')(a + b'jm=t alll= ; sT A ps 214 DMN 4% _ ma'(a + b')m—! ! ((… 7 >è;l):lÿ , 1N / (11) ; ‘ ; ; mb{a—+ b)me—1 2n flÿnf;‘m—l ÿÿÿÿÿ 8 ; E » (2+0d # m{(a—b") (a + b'ym—1 Ï SE é E ae 7 Ter les quantités a, b, a’, b doivent vérifier l’équation 12) (a@ + 5')*= 4 (ab' — ba'),