SECTION IV. — CHAPITRE HI. 353 459. Il faut remarquer que la formule (2) peut s’écrire n(n —1)...(#—e+1) g —, JL>€’ , Dn 22 u et, comme æ ne peut avoir que les valeurs 1, 2,…, (z—1), le premier facteur de cette expression de Ç est l’un des nombres n n(n——l) — —— » <, I r.2 dont le minimum est ». D’ailleurs . et G/ sont des en- tiers, donc G est au moins égal à n. On voit même que, pour avoir Ç = n, il faut que l’on ait —LR 1 QS e ; et alors le système proposé G est évidemment composé des 1.93 . (R — 1) substitutions de n — 1 lettres. La formule précédente montre encore que, si Ç est su- périeur à n, cet indice est au moins égal à la plus petite des valeurs n (n — I) 27n, ——" 2 Sur la limite des indices supérieurs à 2, dans le cas des systèmes transitifs. 460. Nous présenterons ici avec quelques modifications la démonstration que Cauchy a donnée du théorème de M. Bertrand, dans un Mémoire inséré au tome XXI des Comptes rendus de l’Académie des Sciences. D'après ce qui précède, l'indice d’un système intransi- f ne peut être inférieur au nombre des lettres; donc, pour établir le théorème que nous avons en vue, il suffit de considérer les systèmes transitifs. Je dis que l’indice d’un système transitif G relatif 2 S. — Ais, sup., 1I, 23