346 COURS D’'ALGEBRE SUPÉRIEURE. dans deux substitutions de ce système, ne peuvent être égales entre elles ; en effet, il est évident que, s1 j =i, on ne peut trouver dans notre tableau les deux substitutions T;Set T;S, et la même chose à lieu si 7 est différent de ?, carautrementon trouverait aussi (']‘_/SÏ) (F;5)7! ou T4 T7* ; , ce qui est impossible d’après le théorème II (n° 455), puisque cette substitution ne déplace que m lettres au plus. En conséquence, les M p facteurs S du précédent tableau, savoir : F 31> S, C 4E S;,,l, bÛl ; Sil 3 5121 2 ; h,1 5 878 f SÛMÎI ‘7 81'“Î…9 Sê)_“ÿul R p E Sg“1ÿ1 , constituent un système de Mp substitutions conjuguées formées avec n — m lettres : l’ordre M p de ce système est donc un diviseur du produit 1.2.3...(n—m), etl’on a l.2.3...1/?*—/}} \ —— =— #(1.3...m). n \ | Or, par le théorème I (n° 4356), le premier membre de cette égalité est précisément l’indice du système G : cet indice est donc un multiple de 1.2...m. Kemarque: — Le théorème que nous venons d’établir comprend, comme cas particulier, la proposition que nous avons présentée au n° 448 à titre de lemme. On peut effectivement conclure de ce qui précède le corol- laire suivant : Coror.Larne. — Si un système de substitutions conju- g/uf.’as‘_fnl mees avecn /clli'm‘ est m }/uz.s‘ [/'(t/l.H/!j, el que