SECTION IV. — CHAPITRE II. - 345 celles des substitutions du système proposé G qui ne dé- placent pas les 7n lettres que nous venons de choisir, et qui, en conséquence, remplacent l’arrangement À, par lui-même. Il y a dans le système G, comme on l’a vu dans la démonstration du théorème I (n° 454), p substitu- tions susceptibles de remplacer les m lettres de À, par celles qui occupent les mêmes rangs dans A;; mais, pour exécuter une telle substitution, il suffit évidemment de faire d’abord une substitution du système T qui amènera les »n lettresde A; aux places voulues, après quoi il restera seulement à exécuter une substitution S’ de n — m let- tres. D'ailleurs, les deux substitutions que nous em- ployons sontéchangeables entre elles, puisqu’elles n’ont pas de lettres communes, et les M substitutions, dis- tinctes du système G, qui sont susceptibles de remplacer l’un des arrangements À par un autre arrangement formé des mêmes lettres, peuvent être représentées par I, S15 Ssy 848 Sa-r T, S, TS T1S5 e TO T,S, T UE se ETE A 008 Ë T À“_IS£_“Î…, Tn 1Ï5‘;‘“Îl, A T\[—15“Îl)a où S; désigne généralement des substitutions qui ne dé- pendent pas des rn lettres contenues dans les arrange- ments À. Le produit de deux quelconques de ces substi- tutions appartientau système G; d’ailleurs 1l est de la forme T;S', S’étant indépendant des 7n lettres contenues dans A; donc il fait nécessairement partie du tableau précédent ; 1l en résulte que les M o substitutions de ce tableau forment un système conjugué. On voit en outre que les substitutions S, qui figurent comme facteurs