SECTION IV. — CHAPITRE T. 339 lettres; en mettant ào, @ d», à,, A, au lieu dee, c, d, b, a, on ferait coïncider ce système avec celui que nous avons rencontré au n° 436. , En second lieu, le système conjugué > D n Pl 171 dont nous venons de parler, est échangeable avec le sys- tème conjugué formé par les puissances de S. D’abord, il est facile de vérifier que, quel que soitn, on peut trouver un entier m tel, que chacune des substitutions SHITS/l Sl]ll7Sll se réduise à l’une des substitutions P. Le nombre m se détermine facilement par la condition que les substitu- tions que nous venons d’écrire ne contiennent pas la l(,‘lll‘«‘_/l et l’on trouve STS — V— U, SUS RU UITE, SR =T | SU — PU -—U ssTs* — U?, | SUS — TU* = U* T?, STSH= TPE UTS TSUSS S TU =UT, SYTS$ — TU* = U°TS, | SSUSS = UP, On a donc, quel que soit n, S”TS? — P,. S US?” — Pn ou TS/I _— S—/l! l)/, lJSI1 —s S—-/ll [)[_. m eti ayant des valeurs cony enables. Il résulte de là que tout produit de la forme P;S” peut être ramené à la forme S*P, ; en effet, P; estun produit composé de fac- teurs T et de facteurs U, et, d’après ce qui précède, on peut foire avancer successivement S* d'un rang vers la sauche, en modifiant chaque fois convenablement l’expo-