.Q , “ 338 COURS D'ALGÈBRE SUPÉRIEURE. tres e et f, nous ferons U =1 b'esc U e d'aues 0, f, 19 Cela posé, en appliquant successivement les substitu- tions U, U,, Us äune permutation quelconque, on trouve UU (a,e.c4-6b;; VUJU — (a,e, besf). On voit donc que le système G renferme les trois substi- tutions circulaires U— (a bc d); * T—(ajec, d b),. S— fa,e, b,c, d, f) des ordres respectifs 4, 5, 6; ce système s'obtiendra donc en multipliant à droite ou à gauche, mais toujours de la même manière, les puissances de U par celles de T, puis les résultats obtenus par celles de S. En opérant ainsi, on formera bien 6< 5 <4 ou 120 substitutions distinctes, car il est évident que deux produits, tels que S*T/U?, S T/U?, ne peuvent être égaux, à moins que l’on n’ait K= k, j = j, = i. Mais il reste à faire voir que ces 120 substitulions constituent réellement un système con- jugué. En premier lieu, les systèmes conjugués formés l’un avec les puissances de U, l’autre avec les puissances de T, sont échangeables entre eux. On a effectivement T U E VU VE PS c’est-à-dire pay VI — S ('[, en (ElCVÛ|It ù ]ZÏ l)lli\“‘llll(‘(_‘ ÂU.. UTEUY—T#*, d'où UT=Te"U, ces deux systèmes fournissent donc, parla multiplication, un système conjugué de 20 substitutions relatives à cin«