SECTION IV, — CHAPITRE IIT. c œ D Soient P IDIIE T d sCI les lettres données, et supposons que le système G ren- ferme les puiss;mccs de la substitution circulaire U— (2, us d). / Le même système doit renfermer une substitution cireu- laire U,, formée avec les quatre lettres a, b, c, e; on peut supposer que à soit mis au premier rang dans U,; mais alors c ne pourra occuper la troisième place, car, si cela avait lieu, le produit des deux substitutions régulières U? et U*, qui auraient un facteur (a, c) commun, ne con- tiendrait que deux transpositions ayant une lettre com- mune , et il se réduirait à une substitution circulaire du troisième ordre, laquelle ne peut figurer dans G. Il faut donc que c oceupe dans U, la deuxième ou la qua- trième place, et alors il occupera dans U; la quatrième ou la deuxième. J'appelleraiU, celle de ces deux substitu- tions dans laquelle c occupe la quatrième place: on aura donc U,=(a, b,e,c) ou U,—(a,e,b,c); pnn}ill«‘m@nl, le système G renferme deux substitutions circulaires du quatrième ordre dont chacune est le cube de l’autre, et qui sont formées avec les quatre lettres a, bues fx 36 désignerai par Us celle de ces substitutions dans laquelle c occupe la deuxième place, et l’on aura U,=(a,e, f, b) ou U,—(a,e 6,7). Mais, si l’on prend la première valeur de U, 11 faudra prvu«h‘«‘ la deuxième valeur de U,, et inversement, car autrement U? et U; auraient une transpositioncommune, etleur produit se réduirait à une substitution circulaire du troisième ordre. Rien ne distinguant jusqu'ici les let- S. — Als. sup., |l, 23