SECTION IV. — CHAPITRE TIIL. 329 Cela posé, les substitutions du tableau (+) sont insuffi- santes pour transporter les m lettres b à m places quel- conques dans une permutation prise à volonté ; car, si le contraire avait lieu, toute substitution des » lettres pour- rait se réaliser en effectuant d’abord une substitution S, qui amènerait les lettres b aux places voulues, après quoi il resterait à faire une substitution des lettres « qui équivaut à l’une des substitutions du système G” suivie d’une substitution T; le tableau (1) renfermerait donc toutes les substitutions des n lettres, ce qui est contre l’hypothèse. Il résulte de là que, dans une permutation des n lettres données, on peut assigner m places aux- quelles il est impossible de faire arriver respectivement les m lettres b, par le moyen de l'une des substitutions(1); mais, comme il existe évidemment 1.2.3.. .(n—m) sub- stitutions différentes qui peuvent produire cet effet, 1l faut que ces substitutions soient toutes contenues dans le tableau (2). Si donc on a…>liquc les substitutions (2) i‘l lil l)(,‘l'lllll[llli()ll —A } T*A, parmi les Ày permutations obtenues, il y en aura 1.2.3...(7 —m) dans 105({110H(‘9 chacune des 7n lettres b occupera la mème place. Or, en opérant ainsi, il est évident qu’on applique à la pvrmululinn ÀA les substitutions obtenues en multi- 1)]iznnL le système 4c t e e S m e rai—4 1 TS TT qui est semblable à G, par les substitutions 7 t4 p —1 e (4 un donc le système G lui-même est tel, que si l’on mul-