=s ce J B UR ë d Z : V Ï e t 326 COURS D'ALGÈBRE SUPÉRIEURE. Le tableau (2) renferme donc toutes les substitutions des n lettres; or, si l’on applique ces substitutions à une permutation quelconque, il y en aura évidemment 1.2.3...(R—2) qui transporteront deux lettres quel- conques données à deux places déterminées; d’ailleurs, les substitutions T ne contenant pas ba et b,, il est évi- dent que toutes les v substitutions contenues dans une même colonne verticale du tableau (2) donneront à & et à b, les mêmes places; il y aura donc, dans la pre- mière ligne horizontale du tableau, c’est-à-dire dans le ’ - 1.2.3...(m—2) svsteme (4 S ou p substitutions qui trans- A porteront b et b, à deux places quelconques et qui, en conséquence, substitueront ces lettres, dans la permuta- tion primitive, à deux lettres quelconques, parmi les- quelles à et b, peuvent se trouver; en particulier il y aura précisement p substitutions qui échangeront B, et b, entre elles. Si l’on pose U {//… b, >, ces p substitutions seront de la forme US US 4 US,ÿ » - US, =13 Se> S3> ++ <, Sy étant des substitutions indépendantes de by et de h,. Aucune de ces substitutions S’ ne peut se réduire à l’unité, ou plus généralement à l’une des substi- tutions du système G”; car, si S’ ; appartenait à G’, et par suite à G, comme US; est aussi une substitution de G, il en serait de même de U. Je dis que cela ne peui être ; en effet, on à vu que les substitutions S; de G peuvent substi- tuer D, et b, à deux lettres quelconques, et inversement substituer deux lettres qll(*k‘nnqum à O, et 5," d'après cela, si U appartenait à G, il en serait de même de toutes les substitutions de la forme S; USF!, c’est-à-dire de