SECTION 1V. — CHAPITRE I. 3ai qui n’ont pas de lettres communes. De cette égalité on trre, à cause de U = U, TU —S,S7}, d’où 1l résulte que la substitution TU appartient au système G, et il en est de même. du carré J T2e—26T]2 — T2e—26 de cette substitution. La différence « — 6 peut être nulle, et alors la substitution U appartient au système G; si a — 6 n'est pas nulle, la substitution T* appartient au système G, ainsi que toutes ses puissances, parmi les- quelles figure T, comme dans l’hypothèse précédente. Dans ce dernier cas, T et T-‘U appartiennent au sys- tème G, il en est de même de U. On voit en résumé que l’une au moins des deux sub- stitutions T et U appartient au système G. Supposons maintenant que l’indice du système pro- posé ne se réduise pas à 1, ou que l’ordre de ce système ne soit pas égal à N. Alors, parmi les transpositions que l’on peut former avec les n lettres données, il y en aura au moins une qui ne fera pas partie des substitutions du système G; nous prendrons pour U cette transposition, et, d’après ce qui vient d’être établi, toute substitution circulaire T d’ordre p, formée avec celles des n —> lettres données qui ne figurent pas dans U, appartiendra au sys- tème G. Celles des substitutions de G qui ne déplacent pas les deux lettres de la transposition U forment évidem- ment un système conjugué G, et, puisque ce svstème G’ renferme toutes les substitutions circulaires d’ordre P> son ordre est égal à 1.2.3...(n—9») où à la moitié de ce nombre (n° 430). Mais le premier cas ne peut avoir lieu, car autrement, l’indice de G étant supérieur à x, S. — Àls. sup., 1. 2