SECTION IV, — CHAPITRE TIII. 3I9 sairement une puissance TT de T; il contient donc toutes les puissances de T. Mais l’ordre de la substitution cir- culaire T étant un nombre premier, cette substitution fait partie de la suite des puissances de T*, et en consé- quence elle appartient au système G. Le système G renferme donc toutes les substitutions circulaires d’ordre p, et il s'’ensuit (n° 430) qu’il com- prend N ou — substitutions; en d'autres termes, son 2, indice est égal à 1 OÙ à 2. 446. Tuéorème pe M. Bertrand. — L'indice d’un système de substitutions (‘(')Hj((g!((ï{æs‘, formees avec n lettres, ne peut être en méme temps supz:'1‘icuz' à 2et inferieur à n. Ainsi que nous l’avons déjà dit, M. Bertrand admet ce postulatum : Si nest > 7, ily à au moins un nombre « . n premier compris entre — et n — 2, 2 Cela posé, considérons un système G composé des substitutions conjuguées e S 15919902 +-45 Du—19 ; ; e TN formées avec n lettres, et supposons que l’indice — de ce u ! système soit inférieur à n. l)(‘sig'n(…s par p un nombre - - n ° ° premier compris entre — etn—2,el prenons arbitraire- p3 ) ment p + 2 lettres parmi les 7 lettres données ; formons avec p de ces p + 2 lettres une substitution circulaire T d’ordre p, et avec les deux lettres restantes une transpo- siton U. Cela posé, multiplions les substitutions du sys- tème G à gauche, par exemple, par les p puissances (chT, puis ies produits obtenus par les deux puissances de U;