306 COURS D’ALGEBRE SUPÉRIEURE. Îl suffit en effet de choisir À comme dans le précédent corollaire, et de prendre pour P le système conjugué d’ordre p(p—1) dont nous avons reconnu l’existence dans le cas oùp est un nombre ]')rcmicr: Le système dont il s’agit ici se rencontre dans la théorie des équations. 440. Tuéorime IX. — Si un système de substitutions conjuguées relatif à n lettres renferme toutes les substi- tutions circulaires du troisième ordre que l'on peut for- mer avec n—1 lettres données, et qu'’il ait encore d’autres substitutions, il renferme toutes les substitu- tions circulaires du troisième ordre quel'onpeut former avec les n lettres. Soient ut e Oaspntete s, t 195 10 lesn lettres données, G le système que l’on considère, et G’le système conjugué formé avec celles des substitutions de G qui necontiennent pas.b. Désignons par T une sub- stitution de G qui n’appartienne pas à G', et supposons que T substitue b, a;, Aj à ao, Ay, A2, L et j étant deux indices quelconques qui peuv entavoir les valeurs 1 et 2; comme la substitution U =(ao, , d») appartient à G, parhypothèse, il en sera demême de TUF # —(, a;, a;)- Le système G renferme donc toutes les substitutions cir- culaires formées avec les n lettres. CororLairE. — Si un système de substitutions conjuguées relatif à n lettres renferme toutes les N E e ; ‘ 1.2.3...(n—1)= — substitutions formees avec n —1 let- n N ; ; 4 tres, son ordre est N ou — Si le système propose ren- n * ur = Ë ferme seulement les — sudstitutions du premier genre 2n ï ; N formées avecn — 1 lettres, son ordre est — ou 2 27n