SECTION IV.°— CHAPITRE IL. 3o1 dire, le système auquel U appartient renfermera une autre substitution U’ changeant aussi D en D’. Appli- quons successivement les trois substitutions U, V, U—! à l’arrangement ABCD...K. Par la substitution U, cet arrangement devient. d’abord ABCD-:.K; il se transforme ensuite en BCD'...KA par la substitution V. Enfin, comme la substitution U change D’ en D, elle nous donnera l’arrangement BGD. A que l'on aurait obtenu tout d’abord en appliquant la substitution V à l’arrangement primitif; on a donc VUN “d'où--Ve UV. H résulte de là que les systèmes conjugués P, Q, R, ... sont échangeables entre eux deux à deux. D'ailleurs un produit tel que V...RQP, formé avec des substitutions de ces divers systèmes, ne peut se réduire à l'unité à moins que tous ses facteurs ne se réduisent eux-mêmes , à l’üunité ; car, s’il en était autrement. on aurait — V—1 ..RPQ = V—, ce qui est impnssihh‘, puisque la substitution contenue dans le premier membre est impropre à déplacer les groupes de lettres que V-! échange entre eux. On voit donc que l’on obtiendra un système de substitutions con- m m m juguées d’ordre n}" n3'+ n3s,.., en multipliant entre eux les systèmes P, Q, R, ... CororLAirEe 1. — Ætant donné un système de n let-