SECTION IV. — CHAPITRE II. 291 un système de substitutions conjuguées dont l’ordre soit égal à n(n—1)ou au quotient de ce nombre par un diviseur quelconque dent- r. Ce corollaire résulte immédiatement des théorèmes IV et V, en supposant que T y désigne une substitution cir- culaire d’ordre n. CororLaire IT. — On peut former, avec n — 1 lettres , ‘ ° , > - n données, un système conjugué d’ordre G(n) ou %-) Considérons en effet le système conjugué qui contient 29 (2) Ë n . . ° n@(n) ou substitutions de n lettres, et dont il est question dans le corollaire précédent. Pour former ce sys- tème, on part d’une substitution circulaire T, d’ordre n, et l’on prend les substitutions S qui satisfont à une éga- lité de la forme STS+ = T* Or, du mode de formation de ces substitutions S, 1l résulte que, pour chaque valeur de ë, il existe une substitution unique S, qui ne déplace pas une lettre donnée a. Donc le système que nous consi- ; n Ls ; , dérons renferme e(n) ou @ substitutions qui ne dépla- cent que n— 1 lettres; il est évident que ces substitutions constituent un système conjugué. 434. Dans le cas de n=6, si l’on choisit d’abord pour T une substitution régulière formée de deux cycles du troisième ordre, on pourra former, par le théo- rème lV, un système de substitutions conjuguées dont l’ordre sera 1.2 < 3? < 2 ou 36. Si l’on prend en second lieu, pour T, une substitution circulaire du sixième ordre, on pourra former, par le théorème V (corollaire I), un système conjugué d’ordre 6 x 0(6) ou 12. Soit T= |a, b,cdye, f) IN Z