280 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. Rremarque. — Le système conjugué G a étéainsi par- tagé en q suites de substitutions, c 1 ' I, 51 S9, RE TS Ls m ; 3 —ll‘ sl-l1, b2T17 t ts S;J.—1111 m > m 1E ï n 1‘37 hl'i'7v S2123 e b{k71'27 415" a3ajf0 4 à * ..................... 'r/flv s;'Î(/f19 SzT:[—lw ... S:Æ——Î"‘(/*I’ dont la première seule constitue un système conjugué. Pour former ce tableau, sur lequel repose notre raison- nement, nous avons successivement multiplié, à droite, par les substitutions T,, Ta, .. ., Ty_u les substitutions du système F; mais il faut remarquer que l’on aurait pu procéder d'une autre manière, et que la démonstra- tion aurait pu être faite en employant des substitu- tions U,, U», ..., U, du système G, comme multi- plicateurs, à gauche, des substitutions du système F. En procédant ainsi, on aurait décomposé le système G en q suites formées chacune, comme les précédentes, de 4 substitutions et qui sont I, Sl’ SZ? .… S;L——17 u V5 1 USn u 14 UE s. SUS Ugrs Ug-rSa, UgHiPa <005 Ug—rSp—1s chaque substitution U étant choisie parmi les substitu- tions de G (}lli ne font pas partie des lignes horizontales (](:jù formées. 426. Le théorème que nous venons d’établir conduit à des conséquences importantes, qui sont contenues dans les corollaires suivants : ConorLaine !. — L'ordre d'un système de substitutions