27O COURS D'ALGEBRE SUPÉRIEURE. Le nombre x défini par la congruence xp=0 (mod. ë) a pour valeur x =—1; on a donc 1)'+:Q3, 1)2=Q 3, et en posant R— PQ=(a03 bs3 Cy5 A 15 Ds €5, 25 D13 C0s A35 Day C13 Ayy Dg5 C95 Gs D43 C3)» on trouve Q::R", P— TPs 419. Supposons maintenant que l’on demande le nombre des substitutions échangeables avee une substi- tution donnée S. Soit T une telle substitution, on aura Ss — TST—}, et nous avons vu que la substitution TST—* s’obtient, quel que soit T, en exécutant la substitution T dans les cycles de S; donc il y a autant de substitutions T satisfaisant à l’équation précédente qu’il y a de manières différentes d’exprimer S sans déplacer les parenthèses qui entourent les cycles, c'est-à-dire sans altérer le nombre des lettres contenues dans chaque cycle. Ce nombre est précisément celui qui a été représenté par M au n° 414, et qui a pour valeur \ / nu Ma m M— (1.2...,) (1.2...M9) 0 ( 1200 M ) MMS ISS \ d 2 œ my; désigne le nombre des cycles d’ordre n; dansla substi- tution S, et n étant le nombre total des lettres, on a n—mn,+Mmns Æ .H Mattes 420. Nous terminerons l’étude des substitutions échan- geables entre elles, en démontrant deux propositions importantes qui nous seront utiles dans la suite. Tnaéorème I. — Si T, U. V, ..., W sont des substi-