SECTION IV. — CHAPITRE T. 263 on aura évidemment Q=(64) (6,) {(64)..-(Ge+). Mais supposons que p ne soit pas nul. Comme dans le cas que nous venons d’examiner, la substitution Q rem- placera chacune des 7 — 1 premières lettres de l’arran- gement z l)gC£. « CEJE par celle qui la suit; quant à la dernière lettre f, elle sera remplacée par az,, , et chacune des y — 1 premières lettres de l’arrangement ' Atre Déros » Cn fire sera remplacée par la suivante, tandis que la lettre f le sera par az,,,. et ainsi de suite. Le cercle se fermera nécessairement, mais cela ne pourra arriver que quand on aura rencontré la lettre f4+0—1)5» dont l’indice est tel que p soit divisible par ë. On voit, d’après cela, que l’on obtiendra un cycle de Q en écrivant à la suite les uns des autres les À arrangements U (O—1)e* - » ./E+('L—1)ç— Désignons ce cycle par Gz ; il reste à trouver le nombre des cycles Gz. Or À est, par définition, le plus petit nombre entier tel que Àp soit divisible par à; Àp est donc le plus petit commun multiple de p et de :, et par suite, si l’on ap- pelle 6 le plus grand commun diviseur de p et de i, on aura l