262 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. Il résulte de là que, si l’on pose e sC1 P=(C \ C >=; C…__ \, =< 1 ‘2' p—1 Yo > (vo) ( 1) ( p-1), Q es 0.6 , 0 et que l’on désigne par P’et Q', P”et Q", - des substi- tutions analogues à P et Q, mais relatives à des lettres différentes, on aura nécessairement E w . CT —600° …. 29 P et Q, P'et Q’, P” et Q”, .. . étant des couples de sub- stitutions échangeables entre elles, dont le nombre peut se réduire à l’unité. 416. Nous sommes ainsi ramenés à étudier les deux substitutions P et Q; la première est une substitution régulière, et on va voir que la deuxième l’est aussi. Soit i l’ordre des cycles de P; pour plus de clarté, nous représenterons les lettres qui figurent dans un même cycle par un même caractère affecté des indices O, 1, 2, <» , (I—1); posons donc C — 4 0; ds C .… A Cn OD DS DLS E - ce ven G,s — € © €2 €3 + » < Ci—15 C1k—1 =h ff f3 fn et convenons, en outre, que l’un des caractères a, b 545 e, f affecté de l’indice 19 + à désignera la même lettre que si l’indice étaitréduit au reste « de la division de ig+xæ par :. D'après cette convention, nous pouvons poser C= Ap Uo41 Ao49 - » « Aghi—13 lorsque le nombre p est zéro, on a C = C, etalors, si l’on 1 P 0 ; pose (Ge) = (Gi Dis Cœ << <5 Cs Y