E ä | 18 ï | l ; | il / , « = 240 COURS D ALGEBRE SUPÉRIEURE. S'= 1, les termes de la suite précédente seront effecti- vement distincts; car l’égalité S"+" S# entraînerait S/ 1, ce qui n'’a pas lieu, puisque v’ est inférieur à v. On nomme ordre d’une substitution S le plus petit des exposants v tels que l'on ait S— 1. En d’autres termes, l’ordre d’une substitution est le nombre de fois qu'il faut appliquer successivement la substitution à une permu- tation pour reproduire cette permutation. On voit que les seules puissances de S qui se réduisent à l’unité sont 9 es Nous conviendrons d’étendre l'égalité SYstr== S7 aux valeurs négatives de r; changeons donc 7 en —7, on aura Sya—r — s—-rY et cette formule définit ce que nous appelons puissances négatives d’une substitution S, le nombre q étant choisi de manière que vg—7 soit positif. Si, en particulier, on pose r = 1, On pourra prendre g = 1, et l’on aura S— S. Les substitutions S et S=! ont pour produit l’unité; elles sont dites inverses l’une de l’autre. Si l’on a -(i) A sm= Ân « A, Si une substitution S est d’ordre v, la puissance uiêwe on aura évidemment = y se de S sera de l’ordre ; 9 désignant le plus grand commun diviseur des nombres p et v. En effet, pour que l'on ait