&FCTION IV. — CHAPITRE I. 247 Ordre d’une substitution. 406. Soit S une substitution quelconque, la série des puissances de S, en partant de S° ou 1, sera 1s et, comme le nombre total des substitutions est limité, si l’on prolonge suffisamment la précédente suite, on verra nécessairement se rcpr0duirc des substitutions déjà obtenues. Supposons que l’on ait setv— s# ; comme le premier membre de cette égalité est égal à S*.S*, on peut écrire Sys#e— Sp, d’où il suit que la substitution S’, appliquée à une per- mutation quelconque, ne produira aucun déplacement des lettres; en d’autres termes, cette substitution est identique et l'on a Sl On conclut de cette égalité, quel que soit l’entier q, (S rotm t ct, en multipliant par la puissance 7" de S, sT= Sh Il résulte de là que la série des puissances de 5 est pé- riodique, et que la période se compose des substitutions s80e 85es Si l’on suppose que v soit le plus petit nombre tel que