228 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. k désignant un entier et x un nombre premier. Supposons que, dansla suite des nombres 1, 2,3, 4, ., qui ne sur- passent pas x, 1l y en ait A, qui soient divisibles par a ; nommonsaussi A» le nombre de ceux qui sont divisibles para?, et généralement A; le nombre de ceux qui sont divisibles par æ*; il est clair que le coefficient de logæ dans T (x) sera A,+ A2+ A3+.... Considérons main- tenant les termes qui composent une ligne verticale du second membre de notre égalité, par exemple, 1 1 1 è(æ>Ï“" e<'£ÿ, 0<”â)î e<'ä>î ceet on trouvera, dans cette suite, autant de termes contenant log æ avec le coefficient 1 qu’il y a de quantités qui ne O sont pas inférieures à œ dans la suite 1 1 ; æ\' æ\? æx\? a', <;) , (Ë> 0 (ï) 7 00e Or le nombre de ces quantités est évidemment le même 1… que le nombre des quantités ds O UE S e qui ne surpassent pas x; ce nombre est précisément celui que nous avons désigné par A;. Donc le coefficient e log æ dans le deuxième membre de notre égalité es de logæ dans le d bre de notre égalité est A,+A,+A3+..., ce qui démontre l’exactitude de cette égalité. Nous ferons, pour abréger, ï 4 ü [ A e (1) v(3)=0(=) + 9(z)* +9(z)*+0(z)*+,.., etalors l'égalité que nous venons d’établir pourra s’écrire ainsi : (2! T(æ)=«p(.æ)+ÿ<'—â)+ 4:K%> + @<â)+