SECTION TII. — CHAPITRE v. 22_!" . # Déêtermination de deux limites entre lesquelles reste comprise la somme des logaz‘it7mzes népériens de tous les entiers qui ne surpassent pas un nombre donneé. 397. Soit à un nombre entier positif; faisonsx=a—+1 dans la formule (19) du n° 393 et retranchons ensuite iog(æ+1) de chaque membre; faisons en même temps x == a dans la formule (20) du même numéro, on aura log1.2.3...a>l0g\/ä+(a+x)log(a+1)—(a+x)— â log(a+1), (G) ; -— I J ( log 1.2.3...a<]()g‘/2n+alnga—a+;loga+ ; 120 Cela posé, désignons par x une quantité positive . quelconque au moins égale à 1, et soit à le plus grand entier contenu dans x. On a, par hypothèse, aî.z‘ [log(a +1)— 11> (.æ:— â> (logæ — 1), Te I I ï a+—)(lnra—r +_=,(_-+—) logæ —1 u < 2/ \°5 ) Deft, °( E )+12, A Æ ou (zz+1)log(a+1)—— (a +1) —âlr:g(a +1) I > æxlogz—x— ;lngæ, — N .. I I aloga — a + — loga + — 2 I12G PE 1 I Z æ log x — x + —logæ + —. < 5 06 n Des inégalités (1) et (2) on conclut, en appelant T (x le S. — Àle sup,, I. 15