SECTION IIT..— CHAPITRE V. 217 z ; . [ ; 0 étant un nombre compris eulre zéro et —> Ctpar suite 12 ")‘/.IÎ (11) —‘\—>—\=I (pourx=œ). p(ax) Si maintenant on divise laformule (1)parla formule(r1), il viendra (12) p(x)=1 (pourx=o). c'est-à-dire, à cause de la formule (2), (13) l.2.3...æ=\/?îëe—“xæ+îî{l—{—sx), £ désignant une quantité positive qui s'annule pour x =œ , et dont nous allons faire connaître une limite supérieure. 392. Posons, comme nous l’avons déjà fait dans la Section II de cet Ouvrage, (l/}) I‘(;r+l)=l.2.3...x; on peut obtenir facilement, par ce qui précède, une expression complète du produit P(x +1), ou, ce qui re- vient au même, une expression du logarithme népérien log P(x +1). On a d’abord, par la formule (2), (15) logr(z+1)= »jx / I log27—x+ \r+ 5> logæ +—loge(æ), ct l’on a ensuite identiquement OËŸ(‘Ï)_ODŸ(Œ+I)+ Oc?/‘r+2\_*"" \ % / p(æ+m) + log +loge(x +m+1); 9 (x + m + I) mais si l’entier m croît indéfiniment, p(x +m+1) tend vers l’unité, d’après la formule (12), et son loga-