SECTION IIl — CHAPITRE V. 212 ce rapport est égal à - pour n—2, Mais il est inférieur 5 Al LS A , à — pour toutes les valeurs de n supérieures à 2 ; donc, æx lors même que x seréduirait à 1, les valeurs absolues des termes de la série (5) décroissent à partir du deuxième terme. Îl résulte évidemment de là que l’on a d ! OS PE 2? p(x—+ 1) 124 ou o(x = (6) _,Q_)_ < e2=*, ç(æ—+1) ; ; es o(æ) ; Mais on peut assigner une limite de ——‘î—) plus petite 5 9 {\.'I? I que la précédente, et, comme elle nous sera utile plus loin, il convient de l'indiquer ici. Si l’on multiplie la formule (5) par x +1, il vient 5;(1) 2 I I p{(x+1) 123 120%° (r—3) (—1)"="! [ , f "'; 2(n—i)p(n+1) æ” 1 \ (=+ 1)log se I danscette série, le terme en — manque; les autres termes X sont alternativement positifs et négalifs, et le rapport du I terme en — au terme en ——, à pour valeur absolue c X E (m— 1) (n—2) I 112 — I) (11——2) =s (71—4) x - ce rapport est égal à — pour n = 4, mais il est inférieu: s; X à — pour n> 4. Donc les termes diminuent à partir au 81+