MI SECTION INI. — CHAPITRE V. *-213 Rappelons d’abord que la formule de Wallis, qui sera notre point de départ, se déduit de la formule ; ’ k2 uN 2* cosz=K1——*—4$ <1—4—: KI———I»—: es T* ) 97 23TÉ par laquelle on obtient la fonction cos = décomposée en un produit d'une infinité de facteurs linéaires (* ). Cette dernière formule peut s’écvire ainsi : ‘ l n \ smk —>3 T D / 23 42* 42? — — ae 50 hr=— 5 1= —— }"> d cR 7 9z* 5r>, m3 Es ce 2 : 4> mn te ct en faisant z = —, il vient 2 / f F = / ou T 29244 2%3—22%—2 22 d=E 555e —s — —— (pour #= }, 2 194 293x —3 23 — 1 2% —1 ce qui est la formule de Wallis. 390. Cette formule prend la forme très-simple [e(æ)]* T— 1 Épour e =0 Js [p(2æ)]? ou, en extrayant la racine carrée, ( Le ( [ I ——l DOUT: X= CO ) 9(2%) (l 78 si l’on désigne par @(x), soit l’expression (*) Voir mon Traité de Trigonométrie, 5° édition, p. 34e