210 COURS D'ALGEBRE SUPÉRIEURE. X, X1 « + , Œp_ étant des entiers positifs ou nuls et in- férieurs à p. Désignons par & un entier arbitraire, el faisons gé- néralement x 2 … es } t ë | (21) GH== A HO ur À a, [Àî+1+'°'+aak——llfl+l +z/‘+] \mod.j?/, aï, à!, ... étant des fonctions entières de ,, i», .. , Ûx qui se réduisent à des entiers dans le cas de À= o; la quantité Ex, se réduira elle-même à l’unité dans le cas de «#= 0. Quant aux racines ë,, 1», .. ., ip, elles sont, je le répète, définies par les formules (15). Cela posé, je dis que les (p — 1) p* racines de la con- gruence (22) Zz,=0o (mod. p) sont données par la formule (23) æ J S xs dipd..p), dont le second membre est effectivement susceptible de (p— 1) p* valeurs différentes. Deux de ces valeurs de x sont nécessairement distinctes, car leur différence est une fonction de degré inférieur à p par rapport aux quan- tités / qui y figurent, et notamment par rapport à celle àn de ces quantités qui a le plus grand ‘indice. Si donc la différence dont nous parlons était congrue à zéro, i,, se- rait racine d’une congruence de degré inférieur à pn ce qui n’a pas lieu. ‘ D’après cela, il nous suffit de prouver que la valeur (23) de x satisfait à la congruence (22), et nous y parvenons sans difficulté au moyen du lemme du n° 384. Faisons, pour abréger, — +aup+...+a,pt Fr 0 1 k