SECTION I![. — CHAPITRE IV. 209 Faisons, pour abréger l’écriture, P=X,(X, +1) , Q=x7*+EX7SP4+ ÊË+2À,ÊËÎ3)__“-9‘P‘ x peus 5 . —ardu t p—s …. <» = +.z>...(p—x, e p e N s.. 2 on aura 35 = P zf_1 z Z£)—i EX{)_, e PQ (m0d. P > ; ct notre congruence deviendra (X, +1)* X, PP—? — (X, +1)?X,Q — 1=0 (mod. p). Le premier membre de cette congruence est une fonction entière irréductible du degré p* et du premier genre. 388. Les formules (15) du n° 383 peuvent être regar- dées comme définissant un premier groupe de fonctions entières irréductibles du premier genre et des degrés respectifs p, p?, .. ., p*. Nous allons montrer de quelle manière les fonctions irréductibles du degré p” des di- vers genres se rattachent à ce groupe fondamental. Revenons donc à la formule (8) et considérons l’un quelconque des facteurs de son second membre. Posons (20) Z,=X"*—1 _ (mod. p); l'indice y a l’une quelconque des valeurs péÉt eh R S n PE nous le supposerons mis sous la forme ËH % +æ]p+aîl;‘—’+_ H _+“n_1])n—.1’ s. — Als. sup., l 14