- 204 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. De là nous pouvons tirer la conclusion suivante : Pour que les QUANLITÉS 14, Loy.« x> In3 définies par les formules (15), soient respectivement racines des ; J congruences (16), il faut et il suffit que chaque fonc- tion P, contienne le terme i?f— ik—, . .iP— avec le coef- ficient (—1)#, 386. Il est facile maintenant d’établir une règle géné- rale pour former les fonctions entières irréductibles du degré p” et du premier genre. La congruence irréductible de laquelle :, dépend ré- sulte de l’élimination de ÿ,, , ..., L,_1 entre les con- gruences (15). Cette quantité ë, étant l’une quelconque des racines de la congruence (1 1), sil’on désigne par g un entier quelconque, le produit £in représenlera une racine d’une congruence irréductible quelconque du degré p* et du premier genre. Faisant donc gtp=x, la dernière des congruences (15) deviendra (17) X5 P,-y (mod: p), P,_, désignant ici une fonction entière de à4, ta,.… In_1, du degré p— 1 par rapport à chacune de ces quantités O Î P l p . l , et dans laquelle le coefficient de ? i£* ... ° est un entier quelconquc autre que ZÉTO. D'un autre côté, on peut remplacer les racines à, day <» <, Ip_y, qu’il faut éliminer de la formule (17), par i1 19 lnf1 , 1 r —9 —9 +1e9 > 1> &2, -<+; Bn_1 étant des nombres 81 82 Sn— Ë entiers, et il est évident que cela revient à substituer aux n—1I premières congruences (15)les suivantes : 0 )=ÿ) - —P e ps D l P— (18) ( 2 ? p (mod. p), à } ; —p ned X Un—1 —l n—2