É SECTION IïI. — CHAPITRE IV. 203 Cela posé, le corollaire du lemme du n° 384 est fipph— cable successivement dans les » — 1 lnp0the:es sui- vantes : mE—n—2, p=1, p e f(C)=+Pn—1a m=n—3, p=p"*—p"*+1, C=n As) mt m=n—4, p=p"*—p"*+1, E='n—s f(8)=+ , m=sn—5, 9=p"+—p"=++r, C=s fl)=—Pe R ENE M E GT A raiadhatTeS p00 R COLE aPaaCIe e 9 =n 00 00e sr e E e cuc -ce " 006 en …. m=—0o, p=p>\—p+i, C= f('ÊÏ":Ê”‘>”_2P:—_Q;' Effectivement les conditions de ce corollaire, savoir : A"I —1, a"—a=o (mod. p), sont remplies dans chacune de nos n — 1 h_ypothèscä donc la congruence -XIEPn__1 (mod. p) entraînera successivement les suivantes : Xpns r == — P:L, ï X,f"“——p”'“+l =— Pn—1’ e spéret sS —E w » (mod. p), n e e E S Kc aiv, S P Xs - =(-p=oet) et, par conséquent, pour avoir X,{= 1 (mod. p), il faut et 1l suffit que pA=(—r)"* (mod. p), n p—1 jp+4 98 ns | e PE à 18 c’est-à-dire que P,_, contienne le terme avec le coefficient (—1)”7*.