202 COURS D'ALGERRE SUPÉRIEURE. Le second membre de cette congruence est la diffé- rence vième de la fonction f(Z) relative à la différence constante 1 attribuée à Z ; il a donc pour valeur Ç> rian . V4L; ce qui démontre la proposition énoncée. Commele produit 1.2.3... (p—1) est congru à suivant le module p, on déduit de ce qui précède le I, corollaire suivant, relatif au cas de y=p — 1. ConorLaire. — Si l’on attribue à X, une valeur re- présentée par une fonction entière f ({) du degré p—1, d’une racine € de la congruence t* — =1 (mod. p), dont les coefficients a satisfassent à la congruence m ar” —a=0o (mod. P)» lafonction X pmti_ pm+e })l‘Glld/‘fl une valeur congrue au coefficient changé de signe de la puissance &-*dans f(C). - 385. Revenons maintenant aux formules (15 ). Sup- posons les fonctions p P17 P27 ce es 111——21 telles que à4, Ze, » « . Ep_y SOIENL respectivement racines des »— 1 premières congruences (16), et cherchons dans quel cas la valeur de i,, définie par la dernière des formules (15), est racine de la dernière des con- gruences (16). Il est évident que cela revient à chercher dans quel cas la congruence X,=P,, (mod. p) entraîne Xpr-+=1 (mod. p). Désignons par P/, le coefficient de 27} dans Pr_i, par P?, le coefficient de ; dans P 4, par P:4 le n coefficient de i?! dans P ,, et ainsi de suite ; le coef- =— de i, dans P/7? sera un nombre entier. Scre P ficient P5